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SERVIR ROSNY - Page 97

  • ROSNY LES DEUX MOSQUEES : le retour ! Comme Alien ...


    Daniel et moi nous avons pris connaissance, mercredi 9 janvier, du jugement du tribunal administratif de Montreuil. Un jugement lu, en séance publique, le 20 décembre 2012. L'association de sauvegarde de l'allée de l'avenir et des rues avoisinantes" dont le siège social est 19 allée de l'avenir à Rosny-sous-bois, à Monsieur et Madame Nicole et Joseph BOGLIARI, à Madame Nicole Moreau, à Monsieur et Madame Edouard BENSSAYAG, représentés par Maître CASSIN et Maître BRASSIER ont obtenu gain de cause.

    Résumons :

    ci-dessus, nous écrivions ce que tout le monde aurait dû savoir : une décision judiciaire annulait le permis de construire de la 2ème mosquée de ROSNY SOUS BOIS. La mairie et ses conseils et ses adjoints et ses 1 200 ouvriers ont fait le grand silence sur leur échec. Erreur ! Leurs magouilles électorales futuristes risquent d'avoir raison. Car on nous dit que le "coup de pioche" de la mosquée numéro 2, c'est pour très bientôt ! Pendant ce temps, à Moscou, on élève de nouvelles maisons de Dieu, des églises, des cathédrales ...

    Quelqu'un comprend ce qu'il se passe ? Qu'il nous l'explique, mises à part les préoccupations "électorales" des villages du 9.3.  UMP ou PS ? Les mêmes projets pour les mêmes raisons vulgaires : la chasse aux "nouveaux électeurs" . Que faire ? Appelez Monsieur censuré et posez lui la question : il a réponse à tout, presque tout.

     

     


     


  • L'incivilité : un vocable de lâcheté !

    Larousse, un expert sémantique soigneux, répond à la question posée. Il est formel : l'incivilité, ou la non civilité, est une attitude impolie, grossière, résultat d'une mauvaise éducation, forcément familiale ... ou d'une absence d'éducation. Pour éduquer il faut absolument en avoir l'envie et l'amour : l'éducation consiste à transmettre sa foi, son patrimoine, ses valeurs, son amour. On peut en déduire, sans entrer dans de sordides détails, que "éduquer, c'est aimer", c'est donner à ses chers proches la structure mentale ou spirituelle capable d'affronter les épreuves du chemin : la vulgarité, la paresse, la médiocrité, la barbarie des moeurs, la mode, l'athéisme ... L'incivilité, formule fourre-tout des infirmes du coeur, n'est qu'une infirmité passagère car elle est curable. Les remèdes sont à la portée de tout un chacun : la prise de conscience de la vie, l'orgueil de s'en sortir, la foi en ce grand chemin ouvert à tous oui, à tous. L'amour de soi juste avant l'amour des autres car, pour se présenter à l'amour des autres il faut être nickel, propre, joyeux. Si ça marche, et parfois ça marche, le graal c'est d'être heureux. Et pour nous, patriotes amoureux, être heureux c'est pouvoir accueillir et partager. Sommes nous devenus vulgaires en aimant notre Pays, notre terre ? L'épreuve que le Ciel nous propose, on peut lui tourner le dos ou on peut lui faire face. Face à face avec notre foi et le grand destin, et notre tout petit rôle dans cette grande aventure : nous sommes des privilégiés ! Oui, l'incivilité, l'ancienne "impolitesse", est une infirmité curable. Sans soin elle deviendrait vite une barbarie domestique.

    P C P

     

  • Décision sans commentaire

    "Frères très chers,

    Je vous ai convoqués à ce Consistoire non seulement pour les trois canonisations, mais également pour vous communiquer une décision de grande importance pour la vie de l’ Eglise. Après avoir examiné ma conscience devant Dieu, à diverses reprises, je suis parvenu à la certitude que mes forces, en raison de l’avancement de mon âge, ne sont plus aptes à exercer adéquatement le ministère pétrinien. Je suis bien conscient que ce ministère, de par son essence spirituelle, doit être accompli non seulement par les œuvres et par la parole, mais aussi, et pas moins, par la souffrance et par la prière. Cependant, dans le monde d’aujourd’hui, sujet à de rapides changements et agité par des questions de grande importance pour la vie de la foi, pour gouverner la barque de saint Pierre et annoncer l’ Evangile, la vigueur du corps et de l’esprit est aussi nécessaire, vigueur qui, ces derniers mois, s’est amoindrie en moi d’une telle manière que je dois reconnaître mon incapacité à bien administrer le ministère qui m’a été confié. C’est pourquoi, bien conscient de la gravité de cet acte, en pleine liberté, je déclare renoncer au ministère d’ Evêque de Rome, Successeur de saint Pierre, qui m’a été confié par les mains des cardinaux le 19 avril 2005, de telle sorte que, à partir du 28 février 2013 à vingt heures, le Siège de Rome, le Siège de saint Pierre, sera vacant et le conclave pour l’élection du nouveau Souverain Pontife devra être convoqué par ceux à qui il appartient de le faire.
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