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Il suffisait d'un signe ... Nostalgie et délires.

Un an déjà depuis cette tragique farce de l'élection présidentille 2012. Un an déjà depuis le célèbre et justifié "carton rouge" de Lille ... Un an bientôt depuis le médiocre "moi-président" ... Un an déjà ! Nous n'avions pas un grand choix entre la Peste et le Choléra. Les majuscules servant à souligner la taille de la catastrophe. La peste l'a emporté certes, mais avec la complicité du choléra : il est là le véritable fléau, l'alliance des virus. Il ne faut pas oublier ça : c'est l'alliance des chancres rouges de l'UMP et des cancres roses du PS qui a tenté de détruire notre avenir, nos projets, notre liberté. Mais ces deux virus ne détruiront pas notre Patrie, terre de nos pères, de leur foi, de leur courage et de leur volonté. Cette bande de malfaiteurs finira en enfer, parole de Chrétien. Il suffisait d'un signe ... un rêve. Fermez les yeux et imaginez ceci :

Un soir, un mercredi soir, un complot du Siècle. Sarko-nain vient prendre ses ordres, comme chaque 3ème mercredi de chaque mois, place Vendôme. Ce qu'on lui ordonne de faire ce soir-là est proprement ahurissant. Les polyglottes impériaux sont formels : organisez une élection présidentielle loyale. Réformez la loi électorale de telle sorte que la représentation parlementaire soit strictement proportionnelle aux voeux exprimés des électeurs. Comme partout ailleurs en Europe. L'ordre est formel, l'ordre est transmis. Le résultat est sans appel, les électeurs ont voté et formé leur Parlement avec 380 députés UMP, 220 députés Socialiste, 116 députés Patriotes du F N, le "reste" allant aux divers groupuscules extrémistes et marginaux. Seguillon se suicide en direct. Arlette Chabot convoque son confesseur. Harlem Désir, désire qu'on lui fasse grâce, on dit oui et il se convertit. Alleluïa. Sarko-nain est réélu, se convertit lui-aussi mais avec une étape "protestante", son fils Darty essaie de le suivre, mais en vain, dans cette voie agressive (aux yeux des pharisiens). Carla écrit son murmure avec sa nouvelle muse, Charidiranplanplan, mais leur flop ne fait pas tube. DSK le grand se regarde de profil et se fait une lombalgie. Lang, le petit jack, retourne penaud, sans se retourner, à Marrakech, pays de ses amours profonds. Et Beregovoy sort son colt et flingue tonton-le-miteux dans sa bergerie, pourtant bien gardée par Coco Loana. Quel souk ! Et on se réveille. Tonton Hollande veille la vieille carcasse de tata martine et, en grelottant, bavouille l'eternel "pardonnez-moi". Pourquoi pas !

Ouvrez les yeux les braves ! Jamais l'histoire ne s'arrête à de tels détails. Ouf ! Quant à toi le petit hongrois, n'oublie pas le carton rouge, celui de l'exclusion. Définitive.

PCP

 

 

 

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