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SERVIR ROSNY - Page 82

  • C'est sur le terrain et dans les urnes que se comptent les patriotes !

           
                                                            Urne_de_vote : Ballot box

     

    C'est parti ! Une de nos activités consiste à rappeler à nos amis, sympathisants patriotes et "français d'abord" de Rosny-sous-bois que, quelle que soit la couleur politique dominante de la prochaine municipalité il est indispensable qu'une équipe consistante de conseillers municipaux du Front National participe concrètement à la vie de notre commune. La voix de la France doit être entendue partout. Le moment est venu de nous rejoindre sur le terrain et sur notre liste dirigée par Daniel BOUSSELAIRE.

    A suivre, dans les jours qui viennent, le petit lexique des arguments lapidaires, des formules toutes faites dont la finalité est invariablement simpliste. Par exemple : "tu as dis ça, donc tu es ...!". Ce petit inventaire des formules qui tuent est la preuve formelle de la nullité du pseudo débat politique. Que ce soit pour les analyses nationales des équipes de notre Marine ou, plus humblement, pour les critiques et les observations que les patriotes locaux expriment légitimement avec courtoisie et fermeté, nous sauront répondre avec des dossiers, des faits, des dates et des chiffres. En essayant de laisser de côté la manipulation des adjectifs, des caricatures et des outrances.

    Le temps de l'action est venu car, dans quelques mois, il n'est pas question d'entendre les gémissements de ceux qui diront " Ah ! si j'avais su ...".

    Maintenant, il faut y aller !


    Daniel BOUSSELAIRE         06 01 01 70 86

    Pierre - Claude PAILHOUX   06 63 96 70 56


     


     

                                                           

                                             

                    

     

                                                     

  • Silence ! On détourne ...

                                                          

    Voilà qui tombe finalement fort mal pour le président Hollande : au moment où il veut nettoyer un peu la politique française tombée de Charybde en Scylla, le voilà rattrapé par une délicate affaire personnelle qui pourrait bien signer la fin prématurée de son quinquennat. Si on lui avait dit, cependant, que pour sauver son quinquennat, il lui faudrait impérativement se marier à Valérie Trierweiler ou, au moins, se pacser, il est probable qu’il aurait lâché l’affaire . . .

    Impensable ?

    Disons que, un mariage rapide et en catimini pourrait être une piste explorée par le pauvre Président pour retrouver pied dans un jacuzzi de purin devenu bien trop agité pour lui.

    Tout commence avec la plainte d’un certain Xavier Kemlin, le 14 mars dernier : en substance, le bouillant défenseur de petits actionnaires a jugé scandaleux que Valérie Trierweiler copine / maîtresse de Hollande puisse bénéficier des largesses de la République puisqu’elle se fait loger, nourrir, entretenir, payer son personnel et ses déplacements alors qu’elle n’a aucun lien juridique ni avec François Hollande, ni avec le peuple français .

    Bien évidemment, à la suite de cette plainte, la presse s’était à la fois faite relativement discrète, et, pour les quelques articles qui en parlaient, relatait l’affaire sur un ton goguenard ou mi-interrogatif, mi-amusé tant l’incongruité de la plainte semblait évident.

    Seulement voilà : la plainte est bien enregistrée, et il faudra l’instruire. D’autant que sur le plan pénal, il n’y a pas trop de doute :si Valérie Trierweiler n’est ni pacsée, ni mariée à Hollande, elle n’est pas non plus élue ni chargée d’une mission officielle et ne peut donc en aucun cas bénéficier, par exemple, d’une équipe permanente de six « experts autour d’elle à l’Élysée chargés de sa  « communication ». Et si donc Trierweiler est bel et bien reconnue comme une simple maîtresse de Hollande, elle a de fait participé à des détournements de fonds publics à des fins personnelles.

    Bien sûr, on pourra objecter que tout porte à croire que nos deux amants roucoulant ensemble depuis quelques temps déjà, et que ce fait était connu de tous avant même le début de la campagne présidentielle, on assiste à un concubinage notoire. François vit donc à la colle avec Valérie. Le mariage, c’est pour tous, sauf pour eux évidemment et n’en parlons plus.

    Sauf qu’alors, on se retrouve dans une panade encore bien pire puisque ce concubinage, ayant officiellement commencé avant la campagne présidentielle, imposait au président de déclarer un patrimoine un peu différent de celui qu’il nous présenta en 2012 (de 1.17 millions d’euros) et qui n’arrivait donc qu’un peu en dessous des 1.3 millions d’euros fatidiques déclencheurs de l’ISF.

    Au passage, ne figure pas dans le patrimoine en question, la SCI dont le capital serait d’un peu plus de 900.000 euros puisque notre président a clairement prétendu s’en être débarrassé suite à la séparation d’avec sa précédente copine / maîtresse / compagne.

    Mais sans même aller détailler la fameuse déclaration de patrimoine du président, il faut bien admettre que concubins notoires, François et Valérie auraient dû déclarer un patrimoine commun qui aurait largement dépassé les sommes indiquées, Valérie n’étant pas ce qu’on peut appeler de la classe populaire. Et une déclaration de patrimoine farfelue, lors d’une élection présidentielle, ne sera pas camouflée par une volée de petits bisous républicains : normalement, si la faute est caractérisée et le candidat condamné, cela équivaut à l’annulation de la présidentielle et l’inéligibilité de François.

    On peut tortiller les choses comme on veut, mais tout ceci se résume à deux choses :

    - Soit Trierweiler n’a pas de lien juridique avec Hollande et dans ce cas, elle doit payer pour ses frais et rembourser ceux qu’elle a déjà fait, le contribuable n’ayant pas a servir de tiroir caisse.

    - Soit Trierweiler est bien la concubine de notre Président des Bisous, et la déclaration de patrimoine de François Hollande est un faux lamentable, ce qui annule son élection et offre un boulevard à un bordel indescriptible qui arriverait à point nommé pour une France complètement désemparée.

    Évidemment, on peut compter sur la presse et, plus largement, sur l’establishment pour étouffer tout ceci et n’en faire qu’un petit vaudeville. En attendant la fin des vacances judiciaires ...

    C’est pourquoi relayer cette information et ses implications est indispensable : après tout, c’est notre président lui-même qui réclame des mesures fortes pour moraliser la vie politique, que diable !

    source judiciaire à peine romancée

  • Tout se sait, un jour ou l'autre ...

    La ministre vénézuélienne des Services pénitentiaires, Iris Varela, a annoncé sur son compte Twitter l’expulsion d’un ressortissant français connu sous le nom de Frédéric Laurent Bouquet, le 29 décembre 2012.

    M. Bouquet (photo) avait été arrêté à Caracas, le 18 juin 2009, avec trois ressortissants dominicains, en possession d’un arsenal. La police scientifique avait saisi dans l’appartement qu’il avait acquis 500 grammes d’explosifs C4, 14 fusils d’assaut dont 5 avec visée télescopique, 5 avec visée laser, et 1 avec silencieux, des câbles spéciaux, 11 détonateurs électroniques, 19 721 cartouches de différents calibres, 3 mitraillettes, 4 pistolets de différents calibres, 11 équipements radio, 3 talkies walkies et une base radio, 5 fusils de chasse calibre 12, 2 gilets pare-balles, 7 uniformes militaires, 8 grenades, 1 masque à gaz, 1 couteau de combat et 9 bouteilles de poudre à canon.

    Durant son procès, M. Bouquet a admis avoir été formé en Israël et être un agent des services secrets militaires français (DGSE). Il a reconnu préparer un attentat pour assassiner le président constitutionnel Hugo Chavez.

    M. Bouquet avait été condamné à 4 ans de prison ferme pour « détention illégale d’armes ». Il a purgé sa peine. Il a été extrait de sa cellule par ordonnance N° 096-12 du premier juge Yulismar Jaime, puis a été expulsé pour « atteinte à la sécurité nationale », en vertu de l’article 39 alinéa 4 de la Loi sur les migrations et les étrangers.

    Les autorités vénézuéliennes s’étaient jusqu’à présent abstenues de communiquer sur ce sujet. Les faits ont été confirmés par le porte-parole du quai d’Orsay, Philippe Lalliot. L’ambassade de France à Caracas a décliné tout commentaire.

    De notre enquête nous pouvons conclure : (1) le président Nicolas Sarkozy a commandité l’assassinat de son homologue Hugo Chavez (2) l’opération fut un fiasco (3) la France a accordé des compensations substantielles pour étouffer cette affaire durant le mandat de M. Sarkozy.

    source VOLTAIREnet.org