UA-64791776-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

LA DECHEANCE DE L' IM'MONDE

Source : l' IM'MONDE du 4 décembre 2015.

Page 10 - Déchéance de la nationalité : l'idée qui passe mal. Avec, en introduction, cette question fondamentale d'une bobo cm1 qui signe "Hélène Bekmezian" : "jusqu'où est-il possible d'étendre l'unité nationale ?" ... Car, les lecteurs de l'immonde savent bien "qu'il s'agit d'une vieille idée du Front National". Sans oublier, bande de mécréants populistes qui par mégarde lisent le torchon :"Ce serait la première fois depuis Vichy qu'on fait cela". Ce petit rappel innocent vient du député socialiste Pascal Cherki. Je ne vous infligerai pas le reste qui ressemble à s'y méprendre aux résultats physiologiques d'une gastro.

Page précédente - Un reportage signé "JALJOULIA", envoyé(e) spécial(e) en Israël. ... "Alors que les attentats viennent d'ensanglanter Paris, le Shin Bet (service de renseignement intérieur) rend l'information publique : une cellule de l'organisation Etat Islamique (EI) a été démantelée. Le premier ministre, Benyamin Nétanyahoo évoque ces arrestations en ouverture du conseil des ministres, le 22 novembre. Il explique qu'il a saisi le parquet général pour déchoir de leur nationalité les candidats au djihad. "Toute personne rejoignant l'EI ne sera pas un citoyen israélien, dit-il. Et s'il traverse les frontières de l'Etat, il ne reviendra pas".

Sans commentaire !

Ou alors, un seul : Monsieur Nétanyahoo est un patriote qui défend son pays, sa patrie et les siens. Monsieur Valls est un guignol, une sorte de pantin genre Pinocchio : aucune colonne vertébrale pour soutenir ses rictus hystériques. Quant à son patron de Corrèze il est vraisemblable qu'il n'est même pas au courant de ce qui se passe. Je n'ose même pas imaginer qu'il puisse être complice de quoi que ce soit !

Pauvres de nous !

 

   HOLLANDE OU LE DESAROI DE L'INVERTEBRE. ELU ! 

 

 

 

Pierre-Claude PAILHOUX

 

 

Les commentaires sont fermés.