UA-64791776-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • LE SOLDAT DANIEL BOUSSELAIRE EST MORT

     

    Ce blog est en deuil. Daniel nous a quitté le jour de Noël.

    Sa vraie famille, son épouse, ses filles, ses petits enfants

    lui diront " A DIEU" vendredi 29 décembre 2017 à 10 heures

    EGLISE SAINTE GENEVIEVE de Rosny sous bois.

    Venez nombreux accompagner ce soldat patriote,

    ce bon père de famille, ce grand père en or.

    Venez saluer sa famille

    et offrir vos condoléances à son épouse et à ses proches.

    PCP

     

    Oui, j'ai démissionné de mon Mandat de Conseiller Municipal FRONT NATIONAL. Le secrétaire départemental est un incapable qui n'est jamais venu me voir alors que j'étais, entre autres, le responsable de ROSNY SOUS BOIS. Et il se permet de faire,  dans les média et dans le blog de la fédération, des commentaires stupides et erronés. J'ai œuvré pendant 35 ans au FRONT, toujours bénévolement. Et 25 ans dans notre Ville où, longtemps seul, j'ai maintenu le cap. Aujourd'hui, tête haute, mains propres et libre j'attends que les S D en fassent le quart ... Reportez  votre confiance sur Pierre-Claude PAILHOUX et sur mon successeur à qui je souhaite réussite et prospérité. Je remercie tous ceux qui m'ont aidé et fait confiance.

    Salutations sincères à tous.

     

    DANIEL BOUSSELAIRE, octobre 2015

     

    L'infâme clavel valet du Front 93 a tenté de salir la mémoire de notre ami et soldat.

    Il a été vertement remis à sa juste place : les porcheries de Nanterre.

    Ses commentaires injurieux ont été supprimés et ils le seront toujours. 

     

  • FUNERAILLES DE LA FRANCE BLANCHE

    Chronique n°149 de RICHARD MILLET

    Les funérailles de la France blanche

            Qu’on ne se leurre pas : enterrés en grandes pompes avec la bénédiction de l’État français, le comte d’Ormesson et le chanteur populaire Hallyday ont toujours été morts. Ils ne représentaient rien d’autre que la mort française, la France étant morte, on le sait, depuis un demi-siècle, Mai 1968 n’ayant rien été d’autre que l’ultime contrecoup de la débâcle de 1940, et l’immigration de masse l’accomplissement voulu par le capitalisme mondialisé.

                L’unanimité nationale, pompeuse, grotesque, hypocrite qui s’est constituée autour de ces deux personnages est donc la version française du nihilisme contemporain. Certains ont trouvé bon d’évoquer la mort de Cocteau, éclipsée par celle de Piaf, en 1963. Cocteau et Piaf sont encore perçus, à l’étranger, et à des degrés différents, comme des représentants de l’esprit français, lequel n’existe plus depuis longtemps. D’Ormesson et Hallyday sont, eux, inconnus hors de l’hexagone : ils ne sont que des parodies, le premier d’une littérature qui s’est réfugiée dans le simulacre, l’autocensure, la police de la pensée, la falsification, et dont le comte d’Ormesson était la version aimable ; le deuxième n’étant que l’« Elvis français », c’est-à-dire rien : l’ersatz local de cet instrument de domination planétaire qu’est la sous-culture yankee, et qui rappelle que la liberté n’est en vérité que jouissance de la condition d’esclave.

                Des « héros », d’Ormesson et Hallyday ? On a ceux qu’on peut, et les « icônes » sont bel et bien des effigies du Démon. Les hommes qu’on a enterrés avec la bénédiction du chef de l’État et de la clique médiatico-littéraire sont, j’y reviens, des symboles de la mort française : la bourgeoisie déculturée se regrette elle-même dans cet homme de lettres certes sympathique mais littérairement sans intérêt, quoiqu’il fût entré dans cette espace de symbolisation culturelle qu’est la Pléiade (comme, avant lui, ces vermicules littéraires que sont le dialoguiste Prévert et l’histrion Boris Vian), tandis que l’autre, « Johnny », non moins sympathique, est pleuré comme un « Dieu » par le « peuple » français, ou par ce qu’il en reste – nul immigré ni descendant d’immigré ne se trouvant à ses funérailles, de la même façon que ces mêmes post-Français ignorent l’existence du comte d’Ormesson, la France américanisée, aliénée, abrutie de rock, de moto, de cannabis et d’athéisme enterrant aussi, en sous-main, un des ultimes représentants de la « vieille France » – la bourgeoisie et le « peuple » devenus l’une et l’autre des zombis sur un territoire qui n’est plus qu’une dépendance de  l’Union européenne.

                Situé entre le royaume islamique de Belgique et celui, anciennement très catholique, d’Espagne, entre l’Allemagne toujours plus luthérienne et une Italie quasi mafieuse, la France est ravagée par la déchristianisation, l’inculture, la médiocrité, le communautarisme, le séparatisme provincial qui s’ajoute à sa provincialisation post-culturelle : elle n’entretient plus que sa propre caricature sous la forme d’écrivains et de chanteurs insignifiants, ou de produits dérivés tels que le très idéologique Louvre d’Abou Dhabi, qui n’est qu’un Disneyland post-culturel aux mains du pouvoir sunnite.

                Ce pays qui ne fait plus que commémorer et enterrer – mais qui a ignoré la mort d’Henri Dutilleux et à peine commenté celle de Pierre Boulez – bannit en revanche les esprits qui continuent à dénoncer le devenir parodique de la culture dans la redéfinition perverse de la « personne humaine », au sein d’un présent où s’agitent des collabos du néant : écrivains et journalistes aussi vulgaires que les « bikers » qui ont descendu les Champs-Elysées, cette prétendue « plus belle avenue du monde » où ils ont défilé, drapeaux américains sur la selle, sous l’œil ému des « Français » qui se croyaient à l’enterrement de Victor Hugo – le pouvoir culturel ayant délivré le message selon lequel culture est désormais passée de Hugo à d’Ormesson, comme de Piaf à Hallyday, avant d’« acter » que les chanteurs chantent maintenant directement en anglais, tandis que le marquis du Clézio, la parolière post-féminine Ernie et le chansonnier Ben Jelloon écrivent dans un sous-français automatiquement traduit « vers » l’anglais par une plateforme de traduction située au Bengladesh.

                Le même soir, je suis descendu dans un des rares endroits où s’est réfugié le réel : le RER – ce réseau électif de la réalité. On y est confronté à l’abomination sociale, morale, ethnique, écologique. Cette nuit-là, à la station Gare-de-Lyon, je me tenais le plus loin possible des humanoïdes qui attendaient le train – tout près d’un haut chariot chargé de poubelles transparentes (car même les « sacs poubelles » doivent être transparents, voire « démocratiques »). J’en admirais le contenu comme on peut le faire d’une « pièce » d’art contemporain : gobelets, emballages de sucreries et de kebabs, journaux gratuits, paquets de cigarettes vides, gants perdus, mouchoirs en papier – mais pas de bébé mort). Le balayeur africain me regardait en souriant : « En Afrique, ces déchets vaudraient de l’or », m’a-t-il dit, en un français bien meilleur que celui de deux pouffes blanches dont j’avais fui jusqu’à la voix. « Oui, c’est le monde à l’envers ; ou c’est le nouvel ordre du monde », ai-je répondu avant qu’il n’aille chercher d’autres poubelles, me laissant devant ces déchets somme toute plus estimables que mes contemporains.

     

     

  • EDITORIAL DE STEEVE BRIOIS

    ÉDITORIAL
     
    Chers amis,
     
    L’année 2017 s’achève. Elle aura été spectatrice de changements politiques majeurs, d’une élection présidentielle historique confirmant les clivages de notre époque et d’élections législatives qui nous auront permis une entrée remarquée à l’Assemblée Nationale où nos députés incarnent la seule opposition crédible.
     
    Nous entrons dans une période de fêtes et de traditions, celles-là même qui nous rappellent ce à quoi nous sommes attachés, les valeurs et les repères pour lesquels nous nous battons.
     
    Toute période de changement peut connaître des moments d’incertitudes, d’instabilité, de troubles et d’hésitations. Et c’est la France entière qui les traverse. Les bouleversements sont sociaux, économiques, moraux et culturels. J’ai une pensée à ce titre pour tous nos compatriotes dans la souffrance et qui vivent ces changements comme autant d’éléments supplémentaires d’instabilité.
     
    J’ai à titre personnel également une pensée pour notre Présidente Marine Le Pen. Elle aura montré tout au long de cette année un courage qui force l’admiration. Nos succès, nous les lui devons. Elle aura prouvé, si cela était encore à démontrer, qu’elle est un chef exceptionnel. Elle aura tout enduré, y compris les coups les plus bas et les déceptions. Ce courage doit trouver en réponse de notre part un dévouement et une loyauté sans failles.
     
    Forts de nos succès de l’année écoulée, nous entamerons donc 2018 avec l’ardeur que nous procure la perspective d’un congrès non pas rénovateur, mais bel et bien fondateur. 
     
    Alors en attendant, je souhaite à toutes et à tous un joyeux Noël, et d’excellentes fêtes de fin d’année ! 

     

    Secrétaire Général du Front National
    Député français au Parlement européen
    Maire d'Hénin-Beaumont