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SERVIR ROSNY - Page 54

  • Duplicité ou complicité ?

     

    L'analyse de notre Secrétaire Général, Steeve BRIOIS.

     

    AFFAIRE JOUYET/FILLON : LE MARIGOT *** UMPS DANS TOUTE SA SPLENDEUR

     
     

    L’affaire Jouyet/Fillon est emblématique de ce que sont devenus la politique et ses pratiques dans notre pays.

    Tout d’abord par le parcours même de Jean-Pierre Jouyet. Qu’un ancien secrétaire d’Etat d’un gouvernement Sarkozy/Fillon puisse devenir le Secrétaire général de l’Elysée sous une présidence socialiste illustre bien l’entière compatibilité entre l’UMP et le PS, les passerelles idéologiques et les échanges perpétuels de bons procédés.

    Ensuite, par la bassesse des guérillas internes aux partis, dont l’UMP s’est faite ces dernières années le meilleur promoteur. Personne ne doute que François Fillon ait en effet pu manœuvrer en douce pour que la Justice fasse encore un peu plus pression sur Nicolas Sarkozy. Les amitiés dans certains partis politiques ne durent que le temps des intérêts communs. Elles se défont en fonction de l’évolution des dits intérêts, la loyauté et la fidélité n’étant dès lors bonnes à figurer que sur un contrat de mariage.

    Anecdotique, par la récurrence d’affaires de ce genre, l’affaire Jouyet/Fillon est symptomatique parce qu’elle montre bien que même au plus haut niveau de l’État, les valeurs et la noblesse ont foutu le camp.

     
     

    Retrouvez l'actualité du Secrétariat Général sur et

    Steeve Briois
    Secrétaire Général du Front National

     

     

    *** Le terme « marigot » est parfois employé métaphoriquement pour suggérer des activités plus ou moins occultes, en eaux troubles, ou un milieu dangereux pour les personnes qui lui sont extérieures, étant souvent associé à l’habitat des crocodiles. La baignade dans les marigots est généralement déconseillée aux voyageurs en raison du risque de bilharziose (parasitose). (Source wikipédia)

  • ROSNY MAG 168

     

    En avant première, texte de vos élus FN.

     

    L'oligarchie qui dirige le monde selon la vision de

    l'axe NY L TA possède ses délégués (vendus ou

    achetés ...) à Bruxelles, à Paris. A Paris, leur gros

    fournisseur d'élite, c'est l'ENA, ce machin inventé

    par Michel Debré selon les ordres du « grand ».

    L'UMP et le PS (j'ai failli écrire UMPS) se partagent

    le marché des fameuses promotions. Voltaire est à

    l'honneur ! Ainsi va le mondialisme et ses diableries.

     

    A Rosny-sous-bois, notre village, les ouvriers au

    pouvoir sont apparemment plus modestes mais

    participent activement à l'élévation avec un petit « e ».

    Par exemple : dans sa chronique musclée (dont j'ai

    apprécié la virilité) versus P. O. CAREL, Monsieur

    le Maire (ROSNY MAG N° 167, page 34) évoque

    « une forme de démagogie teintée de ce populisme

    qui traverse les époques ». Quel lyrisme !

     

    Ce sont exactement ces principes constitutionnels et

    institutionnels qui embarquent notre petit village et

    notre Grand Pays dans une impasse dialectique assez

    « facile ». Car, en la définissant ainsi, Monsieur le

    Maire, pourrait être soupçonné de démagogie, marché

    politique de base, et presque, pour les esprits pervers,

    de trahison !

     

    N'est-il pas, ici, chez nous, le représentant de l'UMP,

    de l'union pour une majorité populaire ?

     

    Populaire, populiste, sont des enfants du peuple.

    L'ENA ne fait pas d'enfants, seulement, hélas, des mafieux.

     

    PCP

     

                                     

     

    Ces fils d'instits-rouges ne sont pas des fils du peuple. Maoïstes, bobos, gôchos, etc ... Leur idole c'est le VEAU D'OR et leurs gardiens. Mais, comme le temple derrière lequel ils s'abritent en vain, sachez qu'ils ne sont pas immortels. Ouf !

  • La légende de Maxence

     

                                                                    Sainte Maxence

     
    Sainte Maxence fait partie des saints céphalophores. C'est-à-dire de ces saints qui à l'instar de Saint Denis, Saint Just ou Saint Fuscien portèrent leur tête dans leurs mains, après leur mort. Il existe même une "voie de céphalophores" entre Paris et Amiens.

    Maxence était la fille de Malconus, roi des Scots. Convertie à la foi par Saint Patrice, apôtre d’Irlande, elle se voua à la religion quoiqu’elle eut été promise à un prince barbare et païen nommé Avicin. Voulant éviter ses poursuites, Maxence, s’enfuit du palais paternel avec Barbentius, son serviteur et Rosebia, sa servante. La princesse arriva jusqu’à l’Oise.

     On prétend qu’au lieu de traverser le pont, ou peut-être parce-que ce passage lui fut refusé, elle jeta dans la rivière trois grosses pierres au moyen desquelles elle parvint sur l’autre rive. La légende ajoute que l’on n’a jamais pu retirer ces pierres et qu’elles y seraient encore. Cependant, Avicin arriva sur les bords de l’Oise. Il essaya d’abord de vaincre par des prières la résolution de la jeune vierge et de séduire ses serviteurs avec de l’argent. Ayant échoué, son affection se changea en fureur et saisissant la princesse par les cheveux, il lui trancha la tête, puis tua Barbentius et Rosebia.

    La légende ajoute que « le corps de la vierge se leva de terre et prenant sa tête entre ses mains, la transporta du lieu de son martyre au lieu de sa sépulture où quelques temps après on édifia une chapelle ». Aujourd’hui disparue pour le passage de la route nationale, cette chapelle fut visitée par Charlemagne.

    Notons également que les reliques de Sainte Maxence, aurait été cachées dans un souterrain pendant la Révolution, n'ont pu être retrouvées par la suite. La légende raconte également qu'on essaya de transporter les corps de Barbentius et Rosebia (déjà "ensépulturés") en l'église de Sainte Maxence, mais un épais brouillard se leva et épouvanta le monde. Des lampes et flambeaux seraient apparus la nuit, sur leur tombe.

    Le martyre de Sainte-Maxence est fixé au 20 novembre.