QUI EST STEPHANE RAVIER ?

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Biographie

Stéphane Ravier, né le 4 août 1969, est le fils d'un ouvrier électricien et d'une mère au foyer italienne naturalisée française à 15 ans. Sa famille s'installe à Marseille, dans les quartiers Nord, quand il a trois ans. Son grand-père était communiste et ses parents votent François Mitterrand.

Employé au service commercial d'Orange à Marseille, Stéphane Ravier est marié et père de deux enfants.

Carrière politique

Débuts

Il milite au Front national depuis l'âge de 16 ans et participe à toutes les élections depuis 1995, date à laquelle il est élu, à 25 ans, conseiller du III^e secteur de Marseille^1,2,3,4,5.

Ascension

En 2008, lors des élections municipales, il mène la liste du Front national à Marseille⁶ qui obtient 8,76 % des suffrages (23 475 voix) au premier tour. Il est alors l'un des rares élus FN de la ville (conseiller du VII^e secteur de Marseille)⁷. Lors de l'élection régionale de 2010 en Provence-Alpes-Côte d'Azur il est tête de la liste FN dans les Bouches-du-Rhône, la tête de liste régionale étant menée par Jean-Marie Le Pen⁸. La liste obtient 22,99 % des suffrages, 147 846 voix, au second tour dans une triangulaire gagnée par Michel Vauzelle, président de la région PACA (PS). Stéphane Ravier est élu, le 21 mars 2010, conseiller régional ⁹.

QUE DIT DE LUI SON IMAGE ?

          

Autodidacte, donc homme formé sur le terrain, ambitieux, astucieux, perspicace, peu cultivé mais bonne mémoire, opportuniste, un petit air sarkozien (hélas). Et quel bagout ! Cet homme élevé dans un milieu modeste et sincère a trouvé chez son mentor en politique, Monsieur Jean-Marie Le Pen, un ascenseur social sans retour. Une trace de mégalomanie qu'on retrouve souvent chez ces élus du peuple, la "grosse tête" disait-on à l'époque. Il n'a foi qu'en lui. Il est rarement fidèle. Ce n'est pas un escroc comme Tapie par exemple, non, c'est un tueur. Petit homme du petit peuple il a trompé le peuple. Il a fait croire qu'il était un patriote du Front, un soldat de Jean-Marie. Et il l'a trahi, bafoué, insulté. Il a ainsi montré que sa gamelle bien remplie, grâce au patriarche, était son "essentiel" à lui. Petit.

Je vous invite à le découvrir sur ses gazouillis meurtriers. Vulgaires et meurtriers comme la plupart des conneries et saloperies qu'on y trouve.

C'est là que je l'ai démasqué et ce portrait est de moi.

 

Pierre-Claude PAILHOUX

06 63 96 70 56

 

 

 

 

FABLES ET REALITES !

 

"Une grenouille vit un boeuf qui lui semblait de belle taille. Elle, qui n'était pas grosse en tout comme un oeuf, envieuse, s'étend, et s'enfle, et se travaille pour égaler l'animal en grosseur, disant "regarder bien, ma soeur ; est-ce assez ? dites-moi ; n'y suis-je point encore ? - Nenni. - M'y voici donc ? - Point du tout. - M'y voilà. - Vous n'en approchez point. "

La chétive pécore s'enfla si bien qu'elle creva.

Le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages : tout bourgeois veut bâtir comme les grands seigneurs ; tout petit prince a des ambassadeurs ; tout marquis veut avoir des pages."

Jean de la Fontaine

 

 LES GRENOUILLES (au hit parade)   

                                      

 

LE BOEUF (Unique exemplaire d'un grand homme de l'Histoire de France)

  

 

 LES TAUPES (Marigot des opportunistes en mal de famille, de culture et d'avenir ...)

 

LA VICTIME (MARINE et l'espoir qu'elle offre aux Français d'abord !)

 

LE GRAND SAGE (Fidèle, brillant, sincère ! Un très grand Soldat)

 

NOTRE AVENIR (Merci Jean-Marie d'avoir, si brillamment, transmis ta Foi et ton Amour)

 

 

J'assume, auprès des énarques et fonctionnaires de ma famille politique, leur avis d'exclusion et je leur pardonne pour l'instant. Pour l'instant, seulement, car, comme moi, ils sont mortels. C'est Dieu qui décidera.

 

P C P élu F N

Conseiller Municipal de ROSNY SOUS BOIS

06 63 96 70 56

 

 

 

 

 

 

 

 

Le Geai paré des plumes du Paon

 

Un Paon muait : un Geai prit son plumage ;

Puis après se l'accommoda,

Puis parmi d'autres Paons tout fier se pavana,

Croyant être un beau personnage.

Quelqu'un le reconnut : il se vit bafoué,

Berné, sifflé, moqué, joué,

Et par Messieurs les Paons plumé d'étrange sorte ;

Même vers ses pareils s'étant réfugié,

Il fut mis par eux à la porte.

Il est assez de geais à deux pieds comme lui,

Qui se parent souvent des dépouilles d'autrui,

Et que l'on nomme plagiaires.

Je m'en tais et ne veux leur causer nul ennui :

Ce ne sont pas là mes affaires.

 

Jean de La Fontaine